• C'est encore la faute au commissaire Brunetti, série allemande qui nous offre des vues magnifiques de Venise à chaque épisode, si l'envie nous a pris d'y retourner pour visiter ce que nous n'avions pas eu le temps de voir en 2011.

    Pas de train de nuit cette fois ci. Nous n'avons pas succombé une deuxième fois à l'arnaque aux pseudos couchettes de l ère classe de la SNCF avec p'tit déj éponge et plastique au "réveil" (pour se réveiller encore aurait-il fallu dormir et 2 cachets d'analgésique auraient été les bienvenus pour atténuer les courbatures).

    Nous avons pris une compagnie aérienne lowcost, celle où il faut pédaler comme l'a si malicieusement fait remarquer notre hôtelier. J'avoue que j'ai fait une petite prière en montant dans l'avion pour que tout se passe bien mais il faut dire que les voyages en avion et moi c'est loin d'être le grand amour. Disons que je suis heureuse et soulagée une fois ma valise récupérée et que pendant le séjour j'évite de penser au voyage de retour. Finalement tout était parfait, 1h20 de vol, la dernière enquête du commissaire Wallander et la musique dans les oreilles pour oublier l'endroit où je me trouvais. A peine envolés nous atterrissions déjà.

    Après l'air, l'eau. Il faut plus longtemps pour aller de l'aéroport Marco Polo à Venise avec les transports publics que pour venir d'Orly. Peut être que si nous y retournons nous nous offrirons un bateau-taxi pour la frime (110 € le trajet contre 54 € l'aller et retour quand même, ça en fait des capuccini, même à 3,50 €).

    L'hôtel était proche de la piazza San Marco. Beaucoup moins austère que celui où nous avions séjourné la dernière fois. Il s'agissait d'un ancien couvent, ceci explique sans doute cela. La chambre était digne d'un palazzio et le lit tellement grand qu'on peut comprendre que des amoureux ne voient de Venise que leur chambre d'hôtel.

    Venise 2013 - chambre hôtel Torino


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  • Comme je ne pouvais profiter d'elles dehors, j'en ai fait des bouquets pour égayer et parfumer la maison.

    Leurs derniers feux, leurs derniers parfums     Leurs derniers feux, leurs derniers parfums

    Leurs derniers feux, leurs derniers parfums


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  • Écouteurs pour ne rien perdre des aventures de Garfield, d'autant plus que ça se passait à Venise et qu'il était question d'arbre à lasagnes, sans réveiller les dormeurs et pâte à tartiner poison mais tellement bonne sur de la brioche. Les petits bonheurs du matin.

    Mercredi

    Deuxième arrivant, encore un peu endormi. L'appareil l'a bien senti et a su saisir le flou de l'instant.

    Mercredi

    Puis les jeux du jour. Le grand classique : travaux de terrassement sur lesquels les 2 frères se sont retrouvés un court instant.

    Mercredi

    Puis un jeu dont je n'ai pas très bien compris les règles mais qui se terminait par "le perdant a un bisou le gagnant a deux bisous". Emma sait trouver les lots qui font plaisir et personne n'est oublié puisque le jeu se jouait à 2.

    Mercredi

    Ensuite il fallait taper dans les quilles avec le pied pour les plus grands, avec une raquette pour le plus petit. Il y a bien eu une chute douloureuse, un coup de raquette intempestif et quelques retour de quille sur les museaux mais ils ont beaucoup ri, couru et sauté.

    Mercredi

    Mercredi    Mercredi

    Tout à l'heure ils repartent. Ils me manquent déjà.  

     


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  • Je suis bien à la bourre ce matin pour faire mon compte rendu de la journée d'hier. Comme à mon habitude j'ai ouvert un œil sur les coups de 5 h du mat' mais je l'ai refermé aussitôt et, Ô miracle, je me suis rendormie jusqu'à...8 h. Le boulanger a dû me prendre pour Méduse quand il est arrivé 5 minutes plus tard.

    La journée a commencé par une bataille d'oreillers

    Mardi

    Qui, bien sûr, s'est terminée dans les larmes. Jeux de mains, jeux de vilains.

    Mardi

    A la demande de Grande Fille j'ai fait des congolais et leurs partenaires incontournables (faudrait quand même pas gâcher 2 précieux jaunes d’œuf quand des petits enfants meurent de faim.....etc, etc) des sablés.

    Mardi

    Gabriel m'avait annoncé au réveil qu'il irait "jouer aux cailloux". Quand il sera grand-père à son tour il pourra jouer les Cosette auprès de ses petits enfants mais au lieu de l'orange à Noël de GP il leur dira : "Quand j'étais petit et que j'allais en vacances chez mes grands-parents je n'avais que du gravier pour jouer".

    La journée a été assez houleuse, pas facile de jouer à 3. Emma est tiraillée entre ses 2 admirateurs qui n'ont pas forcément envie de jouer aux mêmes jeux et Victor n'est pas très intéressé à jouer avec son petit frère. Heureusement la maison est grande et on arrive toujours à trouver une position de repli même si je suis bien la dernière avec laquelle Gabriel ait envie de jouer.


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  • A 10 h 10, quand, avec GP, nous avons pensé qu'il était temps que Petit Garçon se réveille si on ne voulait pas que toute sa journée soit totalement décalée, ça m'a fendu le cœur de devoir mettre fin à un si beau sommeil. Le flash n'a eu aucun effet sur le dormeur. Les paroles douces, les caresses et les bisous conjugués de sa grand-mère et de sa cousine ont été bien plus efficaces et agréables pour tout le monde.

    Lundi

    L'île des pirates inspire toujours des histoires dont les auteurs se donnent la réplique même si les sujets divergent parfois (sauvetage d'un bébé pour Emma et combats contre les indiens pour Victor).

    Lundi

    C'est toujours aussi drôle de piquer les affaires des grands.

    Lundi

    Cette fois ci Gabriel ne s'est pas contenté d'un tour en tracteur, il l'a aussi conduit. On comprend mieux pourquoi GP a une telle cote auprès de lui.

    Lundi

    Et puis bien sûr les grands travaux ont repris. Un barrage avait été érigé devant la porte de la cave et il a fallu remettre tout en état parce que GP n'était pas content mais, beau joueur, il a quand même aidé.

    Lundi

    Victor supervise le travail depuis la terrasse.

    Lundi

    La journée a été douce, nous avons pu profiter du jardin ou tout du moins de la cour, la "pelouse"  étant trop détrempée pour qu'on ait envie de s'y rouler.

     


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