• Comment une aussi jolie petite araignée qui joue les princesses sur fond d'impatiens rose peut elle faire peur ?


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  • Une p'tiote araignée pour faire plaisir aux aficionados (pas taper !).

    J'avais posé mon double décimètre à côté du monstre afin que vous puissiez juger de sa taille gigantesque et, comme les graduations n'étaient pas très visible une fois la photo recadrée, j'ai rajouté les chiffres pour une meilleure lecture. Elle mesure donc un peu moins d'un centimètre et demi. J'ajouterai que c'est un mâle car on voit bien ses "gants de boxe", organes copulateurs situés au bout des pédipalpes*.

    La famille des Linyphiidae compte une quarantaine de genres que même les spécialistes ont du mal à reconnaître en les disséquant. (les pauvres bêtes).

    Il parait qu'elles affectionnent particulièrement les régions froides il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'elle soit venue passer ses vacances dans le Morvan.








    * La culture c'est comme la confiture : moins on en a plus on l'étale ! Je dois toutes ces connaissances à Richardunord, dont le blog est entièrement dédié aux arachnides. ainsi qu'au père Noël qui m'a apporté, entre autres, un livre sur les araignées.
    Rectificatif apporté par Richardunord quant à son identification il s'agit en fait de  Steatoda sp. de la famille Theridiidae

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  • Également appelée Argiope fasciée. D'une taille assez impressionnante puisque son corps fait à peu près 2 cm et que, même sans étendre ses pattes, elle dépasse les 4 cm (autant que j'ai pu en juger car je n'ai pas pu approcher trop près mon double décimètre). Elle attire légalement l'attention avec sa robe et ses bas rayés noir et jaune.

    Pour voir son minuscule mari c'est chez Pierre-Yves Vaucher, un site que je viens seulement de découvrir mais qui semble receler de magnifiques photos d'animaux divers et variés.







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  • Hier matin en ouvrant le réservoir de la machine à café je vois surgir une squatteuse qui avait décidé d'y installer son petit  chez-elle.

     

    tegenaria5.jpg


    Et c'est là que commence la chasse à courre : foncer chercher l'oeil bionique, rouvrir  le couvercle pour photographier mademoiselle Tegenaria (je n'ai pas voulu vous imposer son joli minois en grand format car même quand on n'est pas effrayé par les araignées elle n'a pas vraiment un visage entrant dans les standards de la beauté grecque).

    Ensuite la convaincre de sortir du réservoir (heureusement amovible) sans lui faire mal. Puis la pourchasser sur le plan de travail pour la photographier.


    tegenaria4.jpg

    Enfin, parce que contrairement à ma petite Epeire de velours elle ne peut pas passer inaperçu, essayer de la faire entrer dans une petite boite pour l'emporter dans le grenier.

    Comme elle est bien plus vive que moi elle a réussi à s'échapper pour aller se réfugier sous les meubles de cuisine. Lieu déjà occupé par un petit mulot qui sort la nuit pour aller manger dans la gamelle des chats (ça ne s'invente pas c'est Monchéri qui l'a vu). S'ils font des petits je vous en garderai un c'est promis.

    P.S. j'ai une magnifique photo qui fait peur je la garde pour le prochain halloween si vous et moi sommes toujours là.

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  • A ceux et celles que la bête impressionne je donne la photo de l'épeire de velours avant recadrage.

    4 mm mesurés en posant un double décimètre sur le mur à côté d'elle sans qu'elle bouge un seul de ses poils.

    Aucun héroisme donc de ma part à la photographier.

    Le seul risque que je cours en la laissant sur le mur c'est de passer au mieux pour une excentrique, au pire pour une souillon qui ne fait pas le ménage chez elle. Dans les deux cas j'assume.

     
      DSC-3126.JPG


    Et, encore plus fort, je ne me sauve même plus devant une couleuvre.

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