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J'avais beaucoup aimé la première saison 1 de Homeland. Surtout grâce à Damian Lewis je pense. Je suis incorrigible : dés qu'il y a un bôgosse dans un film ou une série je suis scotchée et ce depuis mon plus jeune âge. La seule chose que je pourrais reprocher à Homeland c'est d'être très (trop) américaine. Je regarde, je suis intéressée voire séduite mais à aucun moment je ne suis concernée.
Avec Hatufim c'est différent. Pas de super-héros qui monopolise toute l'attention. Tous les personnages ont de l’importance. Ils sont humains, avec leurs peurs, leurs doutes, leurs faiblesses.
Une très bonne série qui sort du lot. Merci Arte.
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Il y a bien longtemps que je n'ai pas montré de petites bestioles sur ce blog.
En photographiant les fleurs du Calville blanc j'en remarque une du plus joli vert que je m'empresse de photographier.
Avouez qu'elle vous intrigue aussi et que vous voudriez bien connaître son nom !
Et bien il s'agit d'un très beau spécimen de Ligamen plasticus ordinariis, mâle,
qui était passé à travers la feuille et dont je n'apercevais que le bout. Il ne faut jamais laisser passer une occasion de rire de soi.
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Poursuite de la visite faites avec les P'tits de P'titChéri et CousineAdorée au Muséoparc d'Alésia.
Depuis la terrasse arborée du bâtiment on a une très belle vue sur toute la campagne environnante et en particulier sur le camp romain reconstitué
et sur l'oppidum et Alise-Sainte-Reine.
Parmi les vestiges de la ville gallo-romaine : le monument d'Ucuetis
La crypte
Les fours des bronziers
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En octobre 2010 le jardin accueillait un pommier Calville blanc. Il entame donc son 3ème printemps ici (enfin, printemps, il faut le dire vite, ce matin il pleut encore à verse). Il est encore un peu chétif mais il a fleuri. Peut être aurai-je la chance de manger une de ses pommes à l'automne.
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Ca faisait un petit moment que je l'apercevais dans le jardin sans parvenir à la photographier. Puis un matin alors que je tirais ma brouette je l'ai a perçue bien installée sur un nid batti au centre du prunier.
Elle avait sans doute trouvé que je la dévisageais avec trop d'insistance et elle s'est envolée. J'en ai profité pour visiter l'intérieur de sa demeure. Très douillet, une invitation au cocooning mais encore vide..
J'étais un peu inquiète parce que les jour suivants je ne l'ai pas revue sur son nid. Je culpabilisais un peu, craignant de l'avoir fait fuir ou pire d'avoir gaché sa ponte. Mais il faut dire que, lorsque je suis dehors, ces jours ci, je ne suis pas seule et que le jardin n'est guère tranquille. Et puis hier, à une heure matinale où le reste de la famille traine encore, je l'ai revue. Immobile pour ne pas se faire repérer.
Et lorsque le débarquement des hordes hurlantes (j'exagère) l'a fait fuir j'en ai profité pour photographier, au jugé ce qui explique que la photo soit floue, l'intérieur du nid.
Quant à la famille Rouge-Queue elle a retrouvé la poutre de la véranda.
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