• Ils sont dingues ! Mais qu'est-ce qu'ils fichent ? Cachez cette  feuille que je ne saurais voir ! (Pardon Jean-Baptiste).




    Où va-t-on ma pov'dame si les hortensias commencent à s'épanouir en décembre alors que les températures sont négatives. C'est que, si ces tout fous de bourgeons éclatent trop tôt, moi je n'aurais pas de fleurs l'été prochain.

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  • J'opterais pour un plaqueminier porteur de ses kakis.







    Avec en prime un petit coin de ciel bleu en décembre.


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  • Une drôle d'idée de se marier un 18 décembre. La journée était particulièrement grise et moche mais le soleil était dans mon coeur et je n'avais d'yeux que pour le beau jeune homme à qui je donnais le bras.

    Il faut dire qu'en ce temps là, même avec une mère féministe avant l'heure et large d'esprit, il n'était pas question que l'élu de votre cœur s'installe sous son toit avant de vous avoir passé la bague au doigt.

    Hier donc, pour commémorer dignement cet évênement nous partîmes à deux, dans la brume, et par un heureux hasard nous vîmes le soleil en arrivant à Beaune (pardon Corneille) et ce fût un bien joli cadeau du ciel.

    Le restaurant, choisi en grand secret par Monsieur, était "Loiseau des vignes"   et ce fût un régal. Arrosé avec modération (il faut quand même ménager son porte-monnaie en ces périodes de fêtes) d'un verre de Puligny-Montrachet (haaaaa !!!!!) et d'un verre de Gevrey-Chambertin (hoooooo!!!!!) avec le croustillant à l'Epoisse. Rien qu'à plonger son nez dans le verre, on frôle l'orgasme.


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  • Décidément  les cigognes aiment les situations élevées mais ce bel appartement en terrasse, avec vue imprenable sur la ville de Salamanque, ne subit-il pas des nuisances sonores ? On peut supposer que ceux qui ont gentiment mis à leur disposition des structures pour qu'elles batissent leurs nids ont également prévu de faire taire les cloches pendant la durée de leur séjour.






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  • Faire une croisière n'est pas forcément un long fleuve tranquille. Il faut parfois avoir l'échine souple et ne pas hésiter à baisser la tête.
    Tout cela sous l'oeil vigilant des matelots. On n'est jamais trop prudent c'est qu'il faut les surveiller tous ces papys-mamys frondeurs.


    Et pour ceux qui, comme moi se baladent, avec un Damart, 1 pull, une polaire, 2 paires de chaussettes et des pantoufles fourrées vous remarquerez les T-shirts et les chemisettes. J'en frissonne rien que d'y penser.

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