Même pas eu le temps de publier les photos prises samedi.

Sourire de Victor spécialement dédié à sa Maman

Pauvre chat qui se cramponne à son coussin que Gabriel lui arrache sans ménagement quand ce ne sont pas les poiles ou la queue.

Il y a eu le traditionnel léchage du saladier de mousse au chocolat. On s'organise, chacun sa cuiller.

Pauvre petit enfant qui n'a qu'un carton pour jouer. Du coup, hier, ils sont partis entre hommes à la bourse aux jouets pour renouveler un peu les stocks et devine ce qu'ils ont acheté ........... des voitures.

Victor, incarnation de la béatitude.

Photo où le sujet principal est flou mais qui montre bien avec quel soin le pot est raclé.

Tout à l'heure ils partiront, ravis de te retrouver ce soir.

Puisque tu sembles avoir accès à un ordinateur pour venir admirer les prouesses de tes hommes je te raconte le goûter d'hier.

Il reste quelques framboises au jardin. Je les ai cueillies avec Victor qui a voulu les réserver pour son frère parce que, dit-il, il les aime beaucoup.

En effet :

Il s'est accaparé la boite d'entrée de jeu, nous signifiant bien qu'il n'avait pas du tout l'intention de partager.

Il plonge dedans avec un sourire ravi

et ferme les yeux de bonheur

et, pour aller plus vite, emploie les grands moyens

Sur ce, Papa nous rejoint et, en homme organisé, fourni un petit bol mieux adapté. Le jeune homme fronce parfois le nez car certaines framboises sont un peu plus acides que d'habitude, nous sommes fin octobre quand même.

Bien sûr tu connais son père indigne qui ne peut s'empêcher d'essayer de lui en piquer quelques unes.

et de le lui faire remarquer, sinon c'est moins drôle

Ensuite il est parti promener GrandPère, ils ont marché 2 km en s'arrêtant papoter chez tous les voisins.

Promis, aujourd'hui je prends aussi des photos de ton grand et je te tiens au courant de tous leurs faits et gestes. Profite bien de ton séjour berlinois, je m'occupe de tes hommes.

La maison s'est vidée de ses derniers invités. Je me suis dépêchée de laver les draps et refaire les lits, il faut être prête à toute éventualité, mais la maison ne se remplira à nouveau de rires et de cris, au mieux, que fin octobre.

Dans l'intervalle il y a un petit voyage de prévu, dont la destination est sensée être une surprise. Plus de la moitié des photos d'Irlande est encore dans l'appareil. Je manque de courage et pourtant il va bien falloir le vider pour engranger d'autres souvenirs.

Après Loulou à la bolognaise, nous avons eu Victor à la mousse au chocolat. Il a appris à mélanger les blancs au reste de l'appareil avec délicatesse (chose que je ne suis pas persuadée de faire très bien moi-même, personne ne me l'ayant jamais apprise).

Les glaces de GrandPère ont, comme toujours, été dévorées avec jubilation mais, cette fois ci, non contents d'attaquer son stock ses petits fils ont carrément mangé celle qu'il s'apprêtait à savourer.

En matière de "savourage", nous avons aussi savouré les premiers mots de Gabriel et ses premières velléités à être propre. Tout ce petit monde à bien grandi.

Bon, c'est pas tout ça, la pluie a été très bénéfique aux liserons et autres herbes envahissantes dites mauvaises et il faut que je profite du soleil de passage pour nettoyer quelques endroits particulièrement envahis et couper tout ce qui est fané.

Selon la recette de son papa qui lui même la tenait de sa mère, chacun ayant amélioré la recette de l'autre, c'est Ludwig qui a préparé le repas pour toute la famille dimanche.

Spaghettis bolognaise, avec tous les ingrédients et herbes adéquates et touillage délicat tous les quarts d'heure.

Nous nous sommes régalés, il est resté des spaghettis mais la sauce a été saucée.

Merci mon Loulou pour ce bon repas. Si tu ne réussis pas dans le monde du spectacle tu finiras certainement chef étoilé.

Photos de l'artiste dans ses oeuvres.

 

La représentation a eu lieu avec le succès qu'on imagine.

Le clown Pasta nous a d'abord conduits avec entrain dans le jardin

pour admirer les évolutions d'une grande trapéziste. Le matériel était malheureusement loin d'être à la hauteur de son talent.

Bien sûr, ce facétieux de Pasta a voulu l'imiter mais il ne lui arrivait pas à la cheville.

Puis le public a rejoint la salle de spectacle, billets en main. Les reporters photographes étaient prêts et même la télé était là.

Nous  avons eu un très joli numéro de jonglage.

Puis un tour de chant.

La chanteuse a eu bien du mérite de garder son calme et son sérieux entre les grimaces et les interventions intempestives de ses partenaires.

Le public a tremblé

devant le numéro de domptage du  tigre féroce, Tigris, par la dompteuse internationale, BabaMagda.

Pasta nous a montré comment fabriquer un chien avec un ballon et il a beaucoup pleuré quand il l'a fait exploser.

Enfin nous avons eu droit a une adaptation moderne et très impressionnante du petit chaperon rouge

A la fin du spectacle la troupe a salué son public sous un tonnerre d'applaudissements.

Bravo les artistes et merci pour cet excellent moment.

Et juste pour le fun la méthode GrandPère pour empêcher Gabriel de mettre des gravillons dans ses oreilles.