Construite dans le jardin de l'Institut des sciences, lettres et arts, elle se visitait mais nous passions par là toujours trop tôt ou trop tard et notre but était la rue plutôt que les musées. Du coup nous n'en avons pas compris l'intérêt, était-il scientifique, artistique ? En tout cas, vue de l'extérieur, elle était amusante.

J'étais très mauvaise langue. Ils ont enfin fleuri ensemble. J'ai quand même triché un peu en rabattant la grande tige de gold cottage pour la rapprocher des 2 petites roses de rhapsody in blue. Quelques pétales ont été perdus dans l'affaire mais je devais absolument rétablir leurs réputations.

Notre hôtel était situé près de la place San Stefano et sur cette place devinez koikinia !

Un glacier de la mort qui tue. Etape obligée une fois par jour, au retour pour un moment de repos bien mérité.

Impressionnant. Passage obligé des bateaux de croisières qui mouillent en face de la place San Marco et déversent des flots de touristes qui remontent ensuite le grand canal dans des taxis qui se suivent à la queue leu leu.

La plupart des boutiques tournent autour des masques pour le carnaval.

Il y a bien sûr les boutiques-pièges-à-touristes qui vendent des masques, probablement made in China, aux couleurs criardes et tous pareils.

Puis il y a les petites boutiques dans lesquels officient des artistes qui les décorent eux mêmes avec beaucoup de talent et de créativité. Les prix ne sont pas les mêmes mais certains sont de véritables oeuvres d'art.