C'est le sort que vient de subir mon pauvre blog. La raison en est simple : je m'entraînais à dégainer les mouchoirs plus vite que mon ombre pour deux pauvres petits nez morveux.

Ça n'a pas empêché les éclats de rire

Le tirage de cheveux

Ils ont même essayé d'entrer tous les deux dans la ferme en tissus, avec une telle proximité les microbes s'en donnent à cœur joie pour sauter d'un petit nez à l'autre.

Et, quand la grand-mère est fatiguée, elle peut toujours ranger les enfants dans le coffre à jouets.

Pour voir combien ma vie a été difficile ces derniers jours on peut aussi aller voir là. En gros je n'ai pas fait grand chose de ce que j'avais prévu mais j'ai fait le plein de tendresse et c'est l'essentiel.