• Le visage lavé par la pluie j'ai retrouvé la fraicheur de mes 20 ans, enfin presque....

    Et puisque le temps aussi a retrouvé de sa fraicheur,  j'ai repris le chemin du jardin pour autre chose que me prélasser dans le hamac.

    Horreur ! Malheur !

    Il y a toutes les fleurs fanées de juin que j'avais laissées sur pied parce qu'il faisait trop chaud pour travailler ou que j'avais autre chose à faire.

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    toutes les malheureuses cuites avant même d'avoir fleuri

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    les arbustes qui partent dans tous les sens.

    Je commence par ce que je vois depuis la fenêtre de la cuisine. Je n'y suis déjà pas très assidue il ne manquerais plus que la vue m'en dégoute définitivement. On ne peut pas vivre que de sandwichs et tout ce qui est plats industriels......... Je vous épargnerai mes commentaires.

    Retour au jardin

    Je compte sur la pluie pour faire reverdir ce paillasson bien éloigné du gazon anglais dont je rêve.


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  • 11 ° à 5h30. Il y avait de la buée sur mes lunettes quand je respirais. Sur la tête de ma mère !

    Grosse peur à 2 km, un sanglier broutait (?) la paille d'un champs fraichement moissonné. Le cerveau analyse vite dans ces cas là. J'étais prête à faire demi-tour et à repartir sur la pointe des pieds (surtout ne pas me faire repérer et charger) quand c'est lui qui à détalé. Il avait beau avoir un gros cul et des petites pattes il courait vite. Heureusement qu'il a eu plus peur que moi.

    Ensuite j'ai réveillé le dortoir des grandes

    Ce matin c'était polaire et mouffles

    Puis, lors de ma pause 6,28, j'ai aperçu deux boules noires qui semblaient bouger. Maudits yeux qui ne distinguent plus les détails à 100 m même avec des lunettes. Au bout d'un moment je me suis dit que je devais être en train de contempler des taupinières et que les mouvements n'étaient qu'une illusion de mon cerveau gelé. Mais non, finalement l'animal s'est déplacé mais je n'ai quand même pas pu l'identifier. Étant donné la forme et la vitesse de déplacement j'opterais pour des hérissons.

    Ensuite j'ai dépassé une armée de soldats au garde à vous dans l'attente de l'arrivée de leur général

    Ce matin c'était polaire et mouffles

    Tout ça sous un ciel de début du jour magnifique

    Ce matin c'était polaire et mouffles

    Mon envie de photographier semble revenue mais mon couillon de téléphone ne me donne que de petites photos même si je l'ai programmé afin d'avoir la meilleure qualité possible. C'est rageant. Les photos ne sont pas à la hauteur du moment magique que j'ai vécu ce matin même s'il a été terni par la vue d'un lièvre touché par une voiture et gisant, mort, au milieu de la route.


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  • Non en fait je l'ai eu dans le nez pendant 40 % de ma balade et c'était dur.

    A cause de lui j'avais le nez qui coule et les yeux qui pleurent. Triste spectacle !

    Mais le pire c'est qu'il chasse les nuages, de bon gros nuages bien noirs et bien menaçants, du genre à être regardés avec vénération en cette période de sécheresse.

    GP a entendu 3 gouttes de pluie tomber cette nuit, elles n'ont pas dû faire beaucoup de bruit car l'information n'est pas arrivée jusqu'à mon cerveau endormi.


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  • Ce matin, à travers un trou dans une haie j'ai aperçu Maman Cane et ses 3 bambins qui remontaient le Serein.

    Nous sommes loin du canard vald'orgien  qui se précipite à votre rencontre dans l'espoir que vous n'aurez pas oublié le pain rassis sur la table de la cuisine.

    Quand je me suis arrêtée pour les regarder les petits ont filé se cacher sous les herbes de la rive à toute vitesse, suivis de près par leur mère drapée dans sa dignité.

    De quoi me mettre de bonne humeur pour la journée.

     


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  • Depuis 2 ans j'ai repris la rando avec mes anciennes copines de Morsang.

    Par chance, comme tout le monde à vieilli, il y a maintenant 3 niveaux : les toutes petites de 5 à 6 km, à un rythme tranquille permettant aux plus anciens d'entre nous (80 ans passés et parfois proches de 90  tout de même) de continuer à marcher (en papotant) en groupe.

    Les moyennes : entre 10 et 12 km à un rythme plus soutenu pour ceux qui aiment toujours la rando mais ne tiennent plus la distance comme moi.

    Et les grandes 18 à 20 km sur la journée. Celles là je ne peux plus, mes pieds me lâchent après 3 heures de marche quelque soit la distance et le rythme.

    En septembre tout ce petit monde part pour une semaine de rando sur les chemins côtiers de Bretagne.

    Comme l'expérience m'a appris que le jardinage et les siestes dans le hamac ne remplacent en rien l'entrainement (la rentrée de septembre 2014 a été douloureuse) je marche chaque matin, à la fraiche, depuis début juillet.

    Et vous voulez savoir : ça me fait un bien fou !


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