Puisqu'on en est à admirer les oeuvres pâtissières et artistiques de Nathalie voici le bateau pirate réalisé pour les 3 ans de Gabriel en octobre 2012.

Il n'y a pas que le blog qui était négligé, les photos ne valent guère mieux. De toutes les photos prises ce jour là la seule qui vaille la peine d'être montrée est celle de mon tout grand et mon tout petit me gratifiant d'un sourire charmeur.

Puisqu'il semblerait que je reprenne un nouveau souffle pour le blog, je vais refaire le chemin à l'envers, contrairement à Dave, et revivre les derniers épisodes de 2012.

Last, but not least, comme disent nos voisins, Victor, qui pour la 7ème fois clos l'année en beauté. Non je ne me trompe pas dans mes calculs, je compte le premier 27 décembre, celui de 2006, où son papa nous avaient annoncé son arrivée.

Nous enterrions le même jour une belle-soeur que je connaissais peu et n'appréciais guère, ceci expliquant sans doute cela. Difficile d'adopter une attitude appropriée à ce genre d'évènement alors que la  joie brillait dans mes yeux, que mon coeur bondissait d'allégresse et que mes pieds trépignaient d'impatience de me mener à la maternité embrasser le nouveau né et ses parents.

Malgré une petite grippe latente, sa maman a encore fait la preuve de sa grande créativité et nous a bati un vaisseau spatiale de toute beauté avec le gâteau confectionné par son papa sur une recette de Marie. Le résultat était aussi beau que bon.

Court séjour d'Emma et de Victor à StMi. Pas le temps de photographier mes jeunes pensionnaires. J'ai seulement immortalisé cette réunion autour d'une console de jeux.

Demain tout ce petit monde reprend le chemin de la crèche ou de l'école. Bonne rentrée mes chéris.

L'âge de glace 3.  Ils viennent à peine de finir leur petit déjeuner et le peigne n'a pas encore trouvé le chemin de leurs cheveux mais je les adore comme ça, bruts de décoffrage et tellement complices.

Partis vaillamment dans le jardin, armés qui d'un panier, qui d'un seau.

Finalement c'est la cour que la cloche avait choisie pour faire son lâcher d'oeufs pour cause d'herbe mouillée par la pluie de la nuit.

Les plates-bandes ont été passées au peigne fin non sans quelques piétinements de fleurettes. Pourtant, là encore, la cloche avait veillé à ce que tout soit facilement accessible.

Trop peut être car Victor semble avoir un panier bien lourd.

Sitôt rentré sitôt goûté, le chocolat ça ne se conserve pas.

Cette année c'était Pâques aux tisons. Il semblerait que les vilains virus de février se soient réveillés. Lundi on avait déjà une maman dans les choux. Mardi GrandPère s'y mettait aussi et il semblerait bien que, par solidarité familiale, ma gorge me chatouille ce matin.