Après ces courses et ces jeux la petite tête appuyée contre mon épaule se faisait de plus en plus lourde. La seconde photo a révélé que le bel endormi ne l'était pas tant que ça mais s'amusait à taquiner sa grand-mère.

Après les efforts de la promenade et le réconfort d'un bon goûter vient le repos devant les aventures du maladroit Chicken Little.

Je ne suis pas sûre que nous tiendrons jusqu'à minuit.

La maison s'est vidée des 2/3 de ses occupants.

Tout le monde a regagné ses pénates sans encombre.

La neige bouillasse au grand  dam des deux fans de glisse encore présents.

Emma a fixé le menu du réveillon du 31 décembre : ce sera raclette (comme l'an dernier). Ça n'est pas meilleur pour la ligne que tous les foies gras, chapons et autres dindes aux marrons mais la préparation en est bien plus simple et rapide. C'est tout bénef pour la cuisinière besogneuse que je suis.

Ce matin j'ai 2 de tension, je sens que mon postérieur va retrouver souvent le moelleux des coussins du canapé.

Il est passé quand tout le monde dormait.

Il a mangé la clémentine et vidé le petit verre de goutte.

Une sacrée bise a été faite à la Germaine mais je soupçonne qu'il ait reçu un peu d'aide de ses elfes. Je ne veux kafter personne.

Il a été bien généreux.

A voir le spectacle extérieur à 7 h du matin, je sens que la journée va être mouvementée pour les lugeurs.

Belle journée à tous.

La fête peut commencer.

Je souhaite un très Joyeux Noël à tous ceux qui passeront par ici.

Je vous embrasse.

Je ne supporte plus d'entendre la pluie "faire des claquettes" (beurk !).

Ici, entre la véranda et les vasistas, le moindre crachin prend des allures de déluge.

Quand l'été est pourri comme ces deux dernières années et que c'est elle qui fait office de réveil matin, il y a des jours où, pour un peu, je me lèverais en pleurant.

Cette nuit j'ai l'impression de l'avoir entendue sans discontinuer. Ici il faisait 7° à 5 h 30 mais là-bas, à la Capitale, les températures sont négatives et du coup nous voilà encore en présence d'un "épisode neigeux" comme ils disent.

Alors  questions lancinantes : pourront-ils venir comme prévu aujourd'hui et demain ?

S'ils se lancent sur les routes, arriveront-ils sans encombre ?

Je connais d'autres mères qui se les posent aussi, qui comme moi vont serrer les fesses et croiser les doigts et ne respireront librement que lorsque petits et grands seront arrivés à bon port (ou auront choisi de rester bien au chaud dans leurs pénates quitte à se contenter de pâtes et d'une vieille tranche de jambon pour le réveillon).